Sophia Russo est Justice-Psi. Son don est sa malédiction : elle peut revivre les souvenirs sanglants de criminels dérangés. Lorsqu’elle se retrouve à faire équipe avec Max Shannon, un flic humain, sur une affaire de meurtres, elle sent son conditionnement faiblir. Des émotions interdites se frayent un chemin dans son esprit saturé de perversions qui ne sont pas les siennes. Dans ces conditions, céder à son attirance pour cet homme signifierait accepter les ténèbres. Celles qui l’exhortent à faire justice elle-même et à devenir juge… et bourreau
Je ne sais que penser de ce tome. Psi-changeling est une série que j’aime beaucoup. Pourtant c’est le deuxième tome de suite qui ne me laisse pas une très bonne impression.
Si l’enquête complexe au cœur de l’empire de Nikita est passionnante et très bien mené, L’intrigue principal n’évolue pas beaucoup. On en apprend un peu plus sur la relation entre Nikita et sa fille mais on entre peu dans les détailles, peu de références au mystérieux Kaleb et pratiquement aucune aux flèches qui sont pourtant de plus en plus intrigantes. Aucune nouvelle du Fantôme et pas grand chose non plus sur Le gardien du net et sa moitié.
J’aurais pu m’en satisfaire si l’histoire d’amour m’avait touché. Mais voilà, je l’ai trouvé très décevante. Même si les personnages sont très sympathiques, ils ne dégagent pas le charisme propre aux changeling ou aux sombres psi comme Judd ou Kaleb. De plus ils avancent tellement sur des œufs que j’ai fini par m’ennuyer ferme.
Ce n’est pas que ce livre n’est pas bon, mais il est en dessous du niveau auquel nous a habitué Nalini Singh. J’ajoute que les changeling me manquent et je ne suis pas mécontente de les retrouver dans les deux prochains tomes.
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Lu pour
Moi j’avait bien aimer sa change des changeling, je pence que l’auteur veut nous montrer une autre facette de son univers par ce tome
oui mais j’aurais aimé que le reste de l’intrigue avance plus par ailleurs.