Titre : Les Loups de Riverdance, Tome 2 : Léo
Paru le 10 juillet 2015
Score :
479 pages
Léo a bien grandi depuis que son père a abandonné son rôle d'alpha de la meute de Riverdance. À présent avocat, père d'une petite fille et divorcé, le jeune homme est écartelé entre ses rêves et la réalité, ses désirs et ses responsabilités. Difficile de choisir sa voie quand tant de gens attendent autant de vous. Cependant des enlèvements d'enfants métamorphes ne vont pas lui laisser le choix. Pas plus que sa rencontre avec Zacharie Blackhawke. Un bel indien sexy, arrogant et sauvage, qui va faire découvrir à Léo des facettes insoupçonnées de sa propre personnalité...
Je suis tombé amoureuse de Léo alors qu’il n’était qu’un adolescent dans le premier tome.
J’ai une tendresse toute particulière pour léo, jeune fils adorable de Marcus qui, à 19 ans, met toute son innocence et toute son authenticité dans sa relation fraternel avec Lucas. Un vrai petit rayon de soleil, j’espère qu’il le restera.
Et oui il le reste, un peu plus âgé, un peu moins naïf mais toujours un rayon de soleil, un soleil plus mature, moins expansif mais toujours aussi généreux. Un homme bon et droit qui fait passer le bonheur des autres avant le sien. Qu’il s’agisse de prendre avec lui sa fille chérie que son horrible ex-femme abandonne, de fonder un foyer pour femmes et enfants maltraités, d’accueillir un presque inconnu chez lui après qu’un incendie lui ait tout prit ou de laisser la place à un ex loup solitaire, Léo a le coeur sur la main. Alors bien-sûr on fond littéralement pour ce jeune loup.
Parce que oui, c’est un loup, et contrairement au premier tome où Lucas n’en est pas un, on rentre cette fois-ci beaucoup plus dans le sujet. On est au coeur de la meute, sa hiérarchie, ses lois, leur natures, leur besoins, leur métamorphose… Tout. Ce qui m’a manqué dans le premier tome ma satisfait pleinement dans celui-ci. Léo se transforme et on est un loup puisqu’encore une fois le récit est à la première personne du singulier.
Coté action je ne suis pas déçu, le rythme est peut être un peu moins soutenu que pour Lucas mais Léo n’arrête pas un instant, entre sa carrière, ses responsabilités de père et au sein de la meute, son implication au refuge et bien-sûr sa romance, il ne lui reste pas beaucoup de temps pour dormir. Alors quand il se retrouve à la tête d’une équipe chargé de retrouver des enfants disparus, il doit en plus devenir guerrier. Pas de problème, malgré son coté héro au grand coeur, Léo ne démérite pas quand il faut se montrer impitoyable et je suis donc tombé encore un peu plus amoureuse de lui.
Mais son coeur est prit par un bel indien. Après un mariage catastrophique qui s’est achevé en divorce, Léo ne s’imaginait pas tomber amoureux d’un homme. Qui ne flipperait pas en se découvrant homosexuel? Et ben Léo justement. Calme et sans le moindre préjugé, Léo accueille son homosexualité comme s’il venait de découvrir qu’il préfère la glace à la vanille plutôt que celle au chocolat. Il n’y a donc pas de prise de tête pas de placard à franchir, il se sait hétéro mais se retrouve à éprouver du désir pour un homme, et bien soit c’est qu’il est autre chose. Aussi simple que ça, voilà qui est rafraichissant. Le ténébreux Zach est un bad boy sexy qui a à sa charge un jeune petit garçon de 5 ans. Plutôt nomade de nature il est l’exact opposé de Léo et ne se livre pas facilement. Voilà de quoi promettre pas mal de rebondissements. Cette romance est donc très belle d’autant que deux adorables petits bouts de choux viennent s’y greffer. Les scènes sensuelles sont tendres et sans être pudiques ne sont pas trop explicites.
Un dernier mot sur la mauvaise habitude d’H.V. Gavriel a me faire verser ma petite larme dans ses romans, dans mon avis sur Renaissances je disait
j’ai le regret de dire que pour une fois, je n’ai pas versé ma petite larme.
Ce à quoi elle m’a répondu qu’elle était déçu que je n’ai pas pleuré, je lui ai répondu que c’était pour la prochaine fois.
Tss Tss, 3 fois….. Elle m’a fait pleuré 3 fois cette fois-ci. Mais c’est pour notre bien ^^
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Lu pour
